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Le première carte représente le territoire et les infrastructures de Chicago. Elle traduit le rigide, le minéral, l'immobile.
La seconde carte représente les flux Twitter géolocalisés des personnes habitant la ville de Chicago. Elle traduit le vivant, le mouvement, les flux. Elle est donc modifiée en permanence. Elle permet également, en étant partagée, entre les citoyens de construire et représenter une image d'eux mêmes, de leurs flux. Cela devient une image du collectif, facilitant ainsi l'appropriation et le changement : l'holoptisme peut se déployer.
D'après vous, laquelle faut-il utiliser pour construire des solutions de mobilité individuelles et collectives, publiques et privées ?