Vaste sujet, tant il embrassera des champs larges et vari\u00e9s de nos secteurs d'activit\u00e9s et de nos vies, tant la direction et l'amplitude qu'investira l'Internet des Objets (Ido) n'est absolument pas d\u00e9fini. Il faut comprendre que, par exemple, la puce RFID sur une caisse logistique qui communique quelques donn\u00e9es, m\u00eame si elle permet de parler d'IdO, ne sera q'un d\u00e9tail de l'histoire. Tout d\u00e9pend alors de nos capacit\u00e9s \u00e0 int\u00e9grer ces technologies dans les objets, tout en reconsid\u00e9rant en m\u00eame temps, la fa\u00e7on dont ils sont con\u00e7us, fabriqu\u00e9s, utilis\u00e9s, recycl\u00e9s et pourquoi ils le sont. <\/p>\n
L'Internet des Objets, s'il comprit dans sa globalit\u00e9, s'inscrit dans l'\u00e9volution g\u00e9n\u00e9rale de la d\u00e9centralisation des outils et des connaissances, du peer to peer, de la soci\u00e9t\u00e9 ubiquitaire, de l'intrusion du consommateur\/citoyen dans la d\u00e9marche de choix, de production et d'innovation (comme l'avait d\u00e9j\u00e0 indiqu\u00e9 A.Gorz<\/a><\/span><\/strong>).<\/p>\n<\/p>\n <\/p>\n La pr\u00e9sentation de Daniel KAPLAN est particuli\u00e8rement \u00e9clairante :<\/p>\n<\/p>\n\n