{"id":239,"date":"2012-08-13T10:53:17","date_gmt":"2012-08-13T10:53:17","guid":{"rendered":"http:\/\/transportsdufutur.ademe.fr\/?p=239"},"modified":"2015-07-21T16:36:29","modified_gmt":"2015-07-21T16:36:29","slug":"apres-lobjet-le-service-puis-lexperience-viendra-ensuite-la-transformation-de-soi-le-citoyen-sera-au","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/transportsdufutur.ademe.fr\/2012\/08\/apres-lobjet-le-service-puis-lexperience-viendra-ensuite-la-transformation-de-soi-le-citoyen-sera-au.html","title":{"rendered":"Apr\u00e8s l'objet, le service, puis l'exp\u00e9rience. Viendra ensuite la transformation de soi, le citoyen sera au centre"},"content":{"rendered":"

\"Experience-economy-coffee1\"<\/a>
Certaines entreprises ont d\u00e9j\u00e0 mis en oeuvre des strat\u00e9gies visant \u00e0 transformer leurs mod\u00e8les d'affaires pour faire vivre \u00e0 leurs clients, devenus des
invit\u00e9s<\/strong><\/a>, une exp\u00e9rience m\u00e9morable<\/strong><\/a>. Citons Apple ou Starbuck. Apr\u00e8s l'\u00e9conomie des services, se d\u00e9veloppe actuellement l'\u00e9conomie de l'exp\u00e9rience<\/strong><\/a>. Le risque \u00e0 ne pas suivre cette voie est grand. Ces mod\u00e8les d'affaires \u00e9l\u00e8vent la relation avec "l'acheteur", et d\u00e9calent les concurrents vers le bas. Les objets d'aujourd'hui pourraient ainsi devenir des commodit\u00e9s<\/strong> <\/a>demain pour les ma\u00eetres de l'\u00e9conomie de l'exp\u00e9rience (wiki<\/strong><\/a>). Les cons\u00e9quences pour le secteur des transports et des mobilit\u00e9s sont \u00e9videntes, directes, potentiellement dangereuses pour les industries en place. D'autant que d\u00e9j\u00e0 se pr\u00e9pare la phase suivante, l'\u00e9conomie de la transformation de soi, le citoyen consommateur en sera le coeur. <\/p>\n

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L'article de Nathalie Van Laethem<\/a> d\u00e9taille cette nouvelle relation client : \u00ab Les clients veulent de l\u2019exp\u00e9rience mais ils veulent du sens. Une offre doit \u00eatre porteuse de sens d\u00e9sormais, et la communication<\/a><\/strong> ne peut plus \u00eatre aveugl\u00e9ment distribu\u00e9e \u00e0 360 degr\u00e9s, mais int\u00e9gr\u00e9e, adapt\u00e9e \u00bb remarque Thierry Spencer dans son blog, le Sens du client<\/a><\/strong>. Ainsi, apr\u00e8s \u00eatre pass\u00e9 d\u2019une approche purement transactionnelle (achat) \u00e0 une approche relationnelle (fid\u00e9lisation), les marques doivent s\u2019int\u00e9resser davantage au v\u00e9cu du consommateur:<\/em><\/p>\n