Pourquoi ce défi ? Avec quels atouts ? A quels horizons ? De quelle manière ?
Jeudi 1er juillet 2010 – à partir de 8 heures – Hôtel de Rennes Métropole
Assiste-t-on à l’émergence d’un nouveau standard de mobilité :
· tout électrique : anticipation de l’épuisement des ressources pétrolières et réduction des émissions de CO2 ?
· tout composite : allégement des véhicules pour en accroître l’autonomie ?
· tout numérique : inscription de la communication du véhicule au sein d’un bouquet de services pour en optimiser l’usage ?
Le territoire breton, riche de ses compétences industrielles et technologiques, peut-il être précurseur de ce nouveau standard ? Ses capacités entrepreneuriales peuvent-elles le porter aux avant-postes pour concevoir, produire et utiliser à grande échelle des véhicules dé-carbonés et les services associés ?
Industriels (PSA, Altran, Groupe La Poste, Spie, Vinci, Sora Composites…) et experts (Autéo, ID4Car, Ademe, ITS Bretagne, Cybel, Supelec…) viendront témoigner !
Les trois temps forts de la journée :
· 8 heures à 10 heures 30 : le périmètre et les enjeux liés à l’émergence du nouveau standard de mobilité pour le territoire breton et l’industrie automobile seront traités,
· 10 heures 45 à 13 heures : les combinaisons technologiques à la base du nouveau standard de mobilité seront examinées lors d’un séminaire technique,
· 14 heures à 17 heures 30 : les conditions de mise en place des capacités industrielles, des infrastructures de recharges et des services publics et privés autour du nouveau standard de mobilité seront abordés lors de 5 ateliers d’échanges en parallèle.
Retrouvez l’ensemble du programme en téléchargement ICI.
Cette démarche systémique impliquant l'ensemble des acteurs, du monde industriel au citoyen en passant par les acteurs publics, visant une mutation réelle des outils de production pour permettre de combiner robustesse industrielle et ancrage territorial, performances environnementales et amélioration des mobilités citoyennes, est sans doute une première à l'échelle européenne.
Le territoire deviendra un l
aboratoire vivant (living lab) pour les citoyens, les industries, les acteurs publics.